mardi, décembre 06, 2005
9 La force du détail
Disparaître ainsi du champ de perception de la réalité pour constituer dans le réel un espace de singularité où le sujet vient à s'inscrire.
Le détail comme insignifiance de la subjectivité comme affect : ce n'est pas un autoportrait - le peintre signe simplement dans la co-présence de la signature et de l'image un effet de représentation comme indéniablement construite : le dispositif met ainsi à disposition une réception du moi comme autre que moi dans le jeu du miroir.
Y-a-t-il un stade du miroir de la représentation en dehors de tout sujet ?
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